ACCUEIL
L’institut de Psychiatrie rassemble 28 équipes de recherche du Groupe de Recherche en Psychiatrie (GDR 3557), des équipes cliniques associées, universitaires ou de secteur, ainsi que des entreprises de biotechnologie. Nos missions :

01/12/2017
Master Class : "Le case management dans la psychose débutante" 17 janvier 2018 au Centre Hospitalier Sainte-Anne, Paris Le case management est peu développé dans l’intervention précoce pour les psychoses débutantes en France alors qu’il constitue le pivot de la stratégie de soin. Cette formation a pour but de vous initier au contenu de ces programmes de soins et d’accompagnement, à la philosophie qui les anime ainsi qu’à certains aspects d’organisation pratique des soins. Cette formation, assurée par le Pr Philippe Conus, Professeur à l’Université de Lausanne, qui a une expérience inégalée dans le domaine et dans le monde Francophone. Il reprendra les concepts et détaillera la pratique du case management, les cibles principales, les enjeux et les défis les plus courants et les manières de construire des soins adaptés à ces jeunes patients. Plus d'information : http://www.institutdepsychiatrie.org/casemanagement-psychose-debutante-philippe-conus-masterclass
18/10/2017
Retours sur le Forum 2017 Avec plus de 60 participants venus de toutes les équipes de l’Institut de Psychiatrie, le Forum fût une fois de plus le rendez-vous incontournable de la recherche en psychiatrie. Les présentations et les échanges ont été riches. Merci à tous pour votre participation, pour vos présentations et les nombreux posters présentés. Comme chaque année trois prix sont remis à la fin du forum. Cette année les lauréats sont : Prix orateur : Julie Bernard (Angers) Prix Poster : Frédéric Briend (Caen) Prix Poster : Aicha Zine (Poitiers)
07/09/2017
La eSanté vise à développer des outils pour offrir des solutions à des problèmes tels que la collecte de données interopérables, l'élaboration de règles de décision, la construction avec les patients de parcours de prévention personnalisés et le suivi de ce parcours… notamment dans le domaine de la Santé mentale. Les outils de la e-santé peuvent aider à améliorer les pratiques préventives et le suivi des patients, mais également l’implication des patients dans cette démarche. Nous vous sollicitons pour connaître votre utilisation des technologies informatiques dans une démarche de prévention comme de suivi et d'accompagnement de vos patients : sites web, applications mobiles, logiciels, objets connectés, etc. Votre contribution nous aidera à établir un état des lieux afin de pouvoir par la suite élaborer de nouveaux projets de recherche et développement répondant mieux aux problématiques et pratiques dans le domaine de la santé mentale. Nous souhaitons par la suite partager avec vous les résultats de cet état des lieux lors de conférence ou dans une publication. Nous vous prions de bien vouloir prendre environ 5 minutes pour répondre à ce questionnaire (10 questions) : https://fr.surveymonkey.com/r/6FDVJFG Pour toute question ou demande d’information supplémentaire, vous pouvez contacter Xavier Aimé à cette adresse : contact@cogsonomy.fr. Xavier Aimé est chercheur en eSanté associé au LIMICS (Inserm, u1142, www.limics.fr) et CEO de Cogsonomy (www.cogsonomy.fr)."
05/09/2017
6ème Forum de l'Institut de Psychiatrie Cette année c'est à Caen que nous nous donnons rendez-vous. Au programme : Vendredi 13 14h00 Visite du Centre Cyceron, plateforme d’imagerie biomédicale rassemblant un ensemble d'instruments permettant la réalisation d'investigations biomédicales à des niveaux très différents d'architecture du vivant : niveau moléculaire (laboratoires de chimie, de radiochimie et de biologie moléculaire), cellulaire (salles de cultures, microscopes optique et à fluorescence), tissulaire (microscopie confocale, histologie), de l'organe ou du corps entier, de l’animal à l’homme (TEP, micro TEP, IRM 7T, IRM 3T). 14h30 – 16h00 De la recherche fondamentale à la recherche appliquée en psychiatrie: Présentations des travaux par des Jeunes chercheurs Julie Bernard (Psychiatre, Anger): Organisation fonctionnelle cérébrale et traits cognitifs:Etude par IRM fonctionnelle de repos Camille Delouche (Interne, Caen): L’échelle d’auto-évaluation des symptômes négatifs (SNS): sensibilité et spécificité Maud Rotharmel (Psychiatre, Rouen): étude TRANSFEX : Etude pilote sur l'effet de la stimulation transcrânienne à courant continu (tDCS) sur les troubles des fonctions exécutives chez des patients autistes sans retard mental Thomas Husson (Psychiatre, Rouen): Séquençage d’exomes dans le trouble bipolaire Fanny Demars (Master2, Paris): Cont ext-dependent extinction of fear in rats Valentine Bouet (MCU, Neurosciences): Des souris 3-hit? Un modèle animal original dans la schizophrénie 16h00-16h15 Pause 16h30-18h30 Ateliers Openclinica et Alfresco (Y Le Neve, IE UPD) et Présentation orale de Posters Amat L (Brest): Suicidalité et états mentaux à risque de psychose, étude retrospective de cohorte Bazziconi PF (Brest): Analyse sémantique et syntaxique chez les sujets à ultra-haut-risque de psychose : protocole d’étude Benarous X (Paris): Lien entre conduites suicidaires et irritabilité chez les enfants et adolescents: une revue de prévalence et des mécanismes proposées Bon L (Lyon): Impact de la remédiation cognitive sur l’activité cérébrale dans la schizophrénie : revue systématique de la littérature Briend F (Caen): Stimulation thêta-burst du cortex préfrontal médian chez des patients atteints de schizophrénie déficitaire avec troubles de la cognition sociale : résultats préliminaires Carmant Loic (Paris Descartes): Contrôle de la dextérité et de l’oculomotricité dans la schizophrénie : les performances comportementales reflètent-elles un déficit d’excitabilité corticale? Denis F (Paris, Sainte-Anne): Investigations des liens entre anomalies neurodéveloppementale et expérience subjective de Soi. Dervaux A (Amiens): Différences hommes/femmes dans une population de 277 patients dépendants au cannabis. Fovet (Lille) : Détection automatisée des hallucinations auditives en IRM fonctionnelle : intérêt des techniques de Support Vector Machine Jeanblanc J (Amiens): Altération des mécanismes de prises de décision dans un nouveau modèle animal de binge drinking opérant Leroux E (Caen): Differential impact of Clozapine, atypical and typical antipsychotics on the fronto-striato-thalamic tracts in schizophrenia: a DTI-based tractography study Naassila M (Amiens): Influence du prix des boissons alcoolisées et d’une boisson alternative sur la consommation d’alcool des étudiants : Etude d’économie comportementale transculturelle France-Etats Unis Mam-Lam-Fook C (Paris, Sainte-Anne): Neuropsychologie des sujets à ultra-haut risque de psychose (UHR) : analyse critique de la littérature Nathou C (Caen):Variabilité de la fréquence cardiaque et clozapine chez des patients schizophrènes Raffin A (Paris, Pitié Salpetrière) Cohorte de 104 jeunes patients catatoniques : mise à jour des étiologies organiques associées à la catatonie Raucher-Chéné D (Reims): Corrélats cérébraux de l’inhibition sémantique dans le trouble bipolaire et la schizophrénie: données préliminaires Trehout M (Caen): Long-term antipsychotic treatment and corpus callosum volume: a study in patients with schizophrenia Vucurovic K (Reim): Corrélats neurofonctionnels de la théorie de l’esprit affective et cognitive dans la schizophrénie : Activation Likelihood Estimation méta-analyse. Xavier J (Paris): Vers une signature motrice dans l’autisme: études en interaction homme –machin Zine A (Poitiers, Henri Laborit) Altérations fonctionnelles au repos dans le trouble obsessionnel compulsif Samde 14 9h-10h Invité d’honneur: Werner Strik (Psychiatre, Bernes): Matching symptoms of schizophrenia on specific specific brain systems: the Bern SyNoPsis Project (Modérateur: R Jardri, psychiatre, Lille) 10h–11h Apport de l’imagerie en psychiatrie (modérateur: A Cachia, Neuroscientiste, Paris) •DuChesnay E (CEA, Saclay) : Multivariate Machine Learning in Neuroimaging: Application to Psychiatric Disorders •Fakra E (Psychiatre, Saint-Etienne): Schizophrenia and emotion processing What if Bleuler was right ? 11h15-12h15 Troubles addictifs: de l’animal à l’homme (modérateurs Naassila M et Jaafari N, psychiatre, Poitiers) •Lucet C et Kebir O (Inserm, Paris) : PHOENIX, application smartphone d’aide à la prise en charge du craving dans les addictions •Cador M (CNRS, Bordeaux): Rechute dans la prise de cocaine : interoception, motivation et habitudes chez le rongeur
28/06/2017
EPA 2018 26 septembre Deadline pour les posters ! Pour le 26ème congrès de l'EPA le thème sera "la santé mentale intégrée, innovante et individualisée" En savoir plus en lisant la fiche retrouvez plus d'information sur : www.epa-congress.org
05/09/2017
Impact of education program and clinical posting in psychiatry on medical students' stigmatizing attitudes towards psychiatry and psychiatric disorders Simon N, Verdoux H. OBJECTIVE: The aim of the study was to explore whether a medical student education program and clinical posting in psychiatry had an impact on medical students' stigmatizing attitudes towards psychiatry and psychiatric disorders. METHODS: Medical students from the University of Bordeaux were recruited during their 4-year course at the beginning of the academic education program in psychiatry. Medical students who were concomitantly in a clinical posting in wards of psychiatry or neurology were invited to participate in the study. The medical student version of the scale Mental Illness: Clinicians' Attitudes (MICA) was used to measure their attitudes towards psychiatry and persons with psychiatric disorder. This 16-item scale is designed to measure attitudes of health care professionals towards people with mental illness, a higher score indicating more stigmatizing attitudes. Items exploring history of psychiatric disorders in close persons were added at the end of the MICA scale. The questionnaire was completed twice by each student, at the beginning and the end of the 11-week clinical posting. All questionnaires were strictly anonymized. Multivariate linear regression analyses were used to identify the variables independently associated with MICA total score. RESULTS: At the beginning of the education program and clinical posting, 174 students completed the MICA scale: the mean MICA total score was equal to 46.4 (SD 6.9) in students in clinical posting in psychiatry (n=72) and 45.1 (SD 7.01) in those in neurology (n=102). At the end of the academic and clinical training, 138 students again completed the questionnaire, with mean MICA total scores equal to 41.4 (SD 8.1) in students in clinical posting in psychiatry (n=51) and 43.5 (SD 7.3) in those in neurology (n=87). Multivariate analyses showed that lower total MICA scores were independently associated with the time of assessment (lower scores at the end of education program and clinical posting) (b=-2.8; P=0.001), female gender (b=-1.8; P=0.03) and history of a psychiatric disorder in a close person (b=-1.92; P=0.02). Type of clinical posting (psychiatry vs. neurology) was not independently associated with MICA total scores (b=-0.02; P=0.98). A significant interaction was found between the variables "time of assessment" and "type of clinical posting" (P=0.05): stratified analyses showed that MICA total scores decreased significantly only when the clinical posting was in psychiatry (b=-4.66; P=0.001), with no significant change in medical students in neurology wards (b=-1.45; P=0.16). CONCLUSION: Stigmatizing attitudes of medical students towards psychiatry and psychiatric disorders are reduced by an education program in psychiatry, with a positive impact more marked when the education program is concomitant to a clinical posting in psychiatry. As future health professionals in charge of persons with psychiatric disorders, medical students are key targets of actions aimed at reducing stigma towards mental health disorders. It is hence of great importance to promote clinical training in psychiatric wards during medical studies for all future practitioners, irrespective of their future specialty. Copyright © 2017 L'Encéphale, Paris. Published by Elsevier Masson SAS. All rights reserved.
24/08/2017
Auditory hallucinations, not necessarily a hallmark of psychotic disorder F. Waters , J. D. Blom, R. Jardri, K. Hugdahl ... Auditory hallucinations (AH) are often considered a sign of a psychotic disorder. This is promoted by the DSM-5 category of Other Specified Schizophrenia Spectrum And Other Psychotic Disorder (OSSSOPD), the diagnostic criteria for which are fulfilled with the sole presence of persistent AH, in the absence of any other psychotic symptoms. And yet, persistent AH are not synonymous with having a psychotic disorder, and should therefore not be uncritically treated as such. Many people who seek treatment for persistent AH have no other psychotic symptoms, have preserved reality-testing capacities, and will never develop a schizophrenia spectrum disorder. Instead, hallucinations may be the result of many different causes, including borderline personality disorder, post-traumatic stress disorder (PTSD), hearing loss, sleep disorders or brain lesions, and they may even occur outside the context of any demonstrable pathology. In such cases, the usage of the DSM-5 diagnosis of OSSSOPD would be incorrect, and it may prompt unwarranted treatment with antipsychotic medication. We therefore argue that a DSM-5 diagnosis of Schizophrenia Spectrum Disorder (or any other type of psychotic disorder) characterized by AH should require at least one more symptom listed under the A-criterion (i.e. delusions, disorganized speech, disorganized or catatonic behavior or negative symptoms). Adhering to these more stringent criteria may help to distinguish between individuals with persistent AH which are part of a psychotic disorder, for whom antipsychotic medication may be helpful, and individuals with AH in the absence of such a disorder who may benefit from other approaches (e.g. different pharmacological interventions, improving coping style, trauma-related therapy). Lire l'article
20/07/2017
Le 22 septembre prochain l'AFRC organise à Poitiers son 9ème colloque, Nemat Jaafari et Nicolas Franck vous invite à en savoir plus sur l'Insight et la remédiation cognitive. Télécharger le programme S'inscrire à l'événement sur le site de l'AFRC
11/07/2017
Fort Boyard : la maladie mentale n’est pas un jeu Depuis le 24 juin 2017 l’émission Fort-Boyard diffuse une séquence intitulée « L’Asile » puis rebaptisée « la cellule capitonnée » : dans ce jeu, le candidat, d’abord entravé par une camisole de force, est enfermé dans une salle capitonnée sans porte de sortie, sous des caméras de surveillance. Il doit se secouer et se contorsionner, à « en devenir fou » pour reprendre les termes de la production. Pourquoi, alors que cette séquence « L’Asile » bouleverse tant de téléspectateurs, de personnes concernées, familles, proches et professionnels de santé, la direction de France 2 n’envisage-t-elle pas une seconde sa suppression ? Pourquoi, alors qu’un colloque « Handicaps et médias » était organisé.... Consulter sur le Monde, Article Abonnés. Lire le texte en entier en version PDF
16/01/2018
Optimiser le diagnostic et la prise en charge Cette année sera la troisième édition, après le Havre et Saint Lô. Le comité d'organisation avait décidé depuis la première édition que nous changerions de lieu chaque année et visiterions chacun de nos cinq dé- partements. Cette année, c'est l'Eure et la Mairie de Pont-Audemer, ville située au centre de notre région, qui nous accueille. Vous pourrez ainsi découvrir cette ville magnifique que l'on nomme « la Venise normande » Programme de la journée 8h00-8h30 ACCUEIL 8h30-8h40 Introduction : Pr Olivier GUILLIN 8h40-9h00 Allocution de bienvenue Optimiser le traitement de la dépression (9h00-10h30) Modérateur : B. MARTIN (Evreux) 9h00-9h45 Les stratégies médicamenteuses O. GUILLIN — Rouen 09h45-10h30 rTMS un espoir ? E. HAFFEN (Besançon) 10h50-11h00 PAUSE La manipulation des référentiels spatiaux dans la relation avec autrui et l'empathie (11h00-12h00) 11h00-12h00 Pr Alain Berthoz (Collège de France, Paris) 12h00-13h00 REPAS 13h00-14h00 Séance Posters internes avec vote du Jury (13h 00-14h00) Prix : ECNP, Encéphale, et livres Jury : S. DOLLFUS, M. TOULOUSE, P. GERARD, P. BELEGUIC, G.SABOLY, S.KASMI, M. TALEB, M.C. VIOT, B. MARTIN, D. FERAY, B. LE GOFF, C. NATHOU, L. DEVARRIEUX Séance Posters infirmiers avec vote du Jury (13h 00 -14h00) Prix : Encéphale, Livres Neuro-développement (14h00-15h30) Modérateur : G. APTER (CH le HAVRE) 14h00-14h45 Le diagnostic du TDAH chez le jeune adulte R. LOPEZ (Montpellier) 14h45-15h30 Quoi de neuf dans les TSA E. HOUY DURAND (Tours) 15h30-15h45 PAUSE Nouvelles techniques - autres concepts (15H45-17h15) Modérateur : M. TALEB (Evreux) 15h45-16h30 Neurofeedback guidé par IRMf des hallucinations T. FOVET (Lille) 16h30-17h15 Aspects cliniques et neurofonctionnels des symptômes négatifs : exemple de l'apathie D. DRAPIER (Rennes) Dix minutes pour vous convaincre (17H15-17H45) Modérateur : D. FERAY (Dieppe) 17h15-17h45 Trois communications d'internes normands 17h45-18h00 Conclusion : Pr Sonia DOLLFUS Téléchargez le programme complet au format PDF --> Téléchargez le bulletin d'adhésion 2018 à l'ANP -->
18/01/2018
Regards croisés sur la recherche en psychiatrie : Journée de rencontre avec les associations de patients - 27 janvier 2018 27 janvier 2018 Salle Laroque Ministère des solidarités et de la santé 14 avenue Duquesne, 75007 PARIS S'INSCRIRE Sous l'égide du Ministère des Affaires sociales et de la Santé, l'Institut de Psychiatrie organise avec le soutien de la Fondation Pierre Deniker et l'association ScienSAs' une journée de rencontre réunissant chercheurs, praticiens et associations d'usagers. L'objectif de la journée est de faciliter la diffusion des connaissances sur les avancées de la recherche et des soins en psychiatrie et de créer des interactions fortes entre les associations et les équipes de recherche. Ouvert à tous, cet événement est l'occasion de poser vos questions aux experts du domaine de la santé mentale. Programme : Accueil 09:30 -10:00 10:00 Introduction de la journée : Pr Marie-Odile Krebs 1ère session : Troubles somatiques association ou modalités d'expression ? Modérateur Pr Marie-Odile Krebs 10:15 Lupus et troubles psychiatriques. Pr Isabelle Jalenques (Clermont-Ferrand) 10:35 Risques somatiques de la dépression. Dr Jean-Yves Rotgé (Paris) 10:55 Discussions (15') Pause (10') 2ème session : Activité physique adaptée Modérateur Mme Dominique Willard 11:20 Faire du sport : quel bénéfice, comment le diffuser ? Dr Maxime Tréhout (Caen) 11:40 Adapter l'activité aux patients : mode d'emploi. Mme Laurence Kern (Nanterre) 12:00 Discussions (15') 3ème session : Physiologie et physiopathologie Modérateur Dr Thérèse Jay 12:15 Sport et cerveau : comprendre les interactions. Pr Michael Spedding (Le Vésinet) 12:45 Discussions (15') 13:00 – 14:30 Déjeuner-Buffet Table ronde : Neurodéveloppement et schizophrénie : quels liens, quelles conséquences ? 14:30 Introduction de la table ronde : Mme Jeanne Etiemble – Pr Catherine Barthélémy 14:35 Schizophrénie et neurodéveloppement : actualités -Pr Marie-Odile Krebs (Paris) / Mme Marie-Agnès Letrouit (Schizo ? Oui !) 15:05 Un continuum clinique ? Un lien évolutif ? une comorbidité ? des dimensions partagées ? Dr Gilles Martinez (Paris) / Mme Marie-Jeanne Richard (UNAFAM) 16:05 Discussions (15') Conclusion générale 16:35 Echanges 16:50 Conclusion Téléchargez le programme complet au format PDF --> S'INSCRIRE
13/02/2018
11ème journée internationale des pathologies émergentes du jeune adulte et de l'adolescent Vers le déploiement de l'intervention précoce en France ? La 11ème édition des Journées Internationales des Pathologies Emergentes de l’Adolescent et du Jeune Adulte (JIPEJAAD) organisée par le réseau TRANSITION a pour thème : « Vers le déploiement de l’intervention précoce en France ». Les soins et l’accompagnement des phases précoces de la psychose ont considérablement évolué ces dernières années au niveau international. La précocité de la prise en charge, en amont d’un diagnostic catégoriel, l’importance donnée au maintien dans le milieu, au pronostic fonctionnel, à l’accès aux soins, à la notion de stades, sont autant de challenges à notre vision de la psychose et de la schizophrénie. Les centres « intervention précoce », qui suivent les jeunes présentant une psychose débutante pendant 2 à 5 ans, ont montré leur efficacité à améliorer le pronostic fonctionnel, à limiter l’évolution vers la chronicité et à réduire la durée de psychoses non traitée. Cette période est en effet cruciale : le tableau bien que cliniquement présent, n’est pas reconnu et échappe aux soins, entraînant une perte de chance médicale et sociale. La France n’a jusque là pas développé d’initiative à l’échelle nationale. Les raisons tiennent autant à la perception de la psychose, trop souvent assimilée uniquement à la schizophrénie, mais aussi pour des raisons organisationnelles : quelle place pour des centres entre psychiatrie de l’adolescent et psychiatrie de l’adulte ? comment les articuler avec urgences, médecine de ville et psychiatrie de secteur ? comment favoriser l’accès à des soins rapides quand les ressources / le temps manquent ? comment identifier les personnes vraiment à risque d’évolution psychotique ? comment construire de nouvelles ressources « à moyen constant », quelle échelle, taille, organisation ? comment former les professionnels au contact des jeunes ? quels outils sont disponibles ? Trois associations francophones se sont regroupées pour promouvoir et faciliter la diffusion des programmes de détection / intervention précoce. Le Réseau Transition, adossé à l’Institut de psychiatrie, est co-fondateur de cette « branche francophone » de l’International Early Psychosis Association avec l’association AQPPEP (Association Québéquoise des Programmes pour Premiers Episodes Psychotiques) coordonnée par le Dr Amal Abdel-Baki, Université de Montréal , et l’association SWEPP (Swiss Early Psychosis Project) coordonnée par le Pr Philippe Conus (CHUV Université de Lausanne). Tous deux débuteront la journée en nous faisant partager leur expérience. Puis, seront abordés différents aspects organisationnels : le Dr G Gozlan (fondateur du SAMSAH Prépsy) rappellera les plans nationaux construits à l’étranger, le Pr A ? Bartoli (Université de St Quentin, Lab Larequoi) détaillera les aspects managériaux, le Pr K. Chevreul (UrcECO, ECEVE, Inserm) l’évaluation des pratiques. Nous présenterons aussi différents outils qui faciliteront l’évolution des pratiques. La journée se terminera avec une table ronde où les participants nous inviteront à nous interroger sur les freins et leviers nécessaires pour réussir l’implantation de dispositifs d’intervention précoce dans notre organisation territoriale. Programme : Accueil ( 09:30 - 10:00 ) 10:00 10:15 Allocution d'ouverture : Henri Lôo et Jean-Pierre Olié de l'Académie de Médecine Le mot du Directeur de l'hôpital Sainte-Anne : Jean-Luc Chassaniol Introduction : Marie-Odile Krebs 10:15 10:40 Attentes et perspectives d'un réseau francophone dans l'intervention précoce Philippe Conus - Suisse (20' + 5') 10:40 11:15 Monter un programme d'intervention précoce : les composantes essentielles Amal Abdel Baki - Canada (30' + 5') 11:15 11:50 Un élan national, comment ont-ils faits ? L'exemple de programmes nationaux à l'étranger Guy Gozlan - Paris (30' + 5') 11:50 12:25 Facteurs de réussite organisationnelle dans les projets d'intervention précoce Annie Bartoli - Versailles (30' + 5') Pause déjeuner ( 12:25 - 13:40 ) 13:40 13:55 Une task force pour l'intervention : une boite à outil : bilans, évaluations, psychoéducation, formations Membres de la task force (15') 13:55 14:15 Screener avant d'évaluer ? Autoquestionnaires Florian Lejuste - Paris & Pierre-François Bazziconi - Brest (15') 14:15 14:35 Psychoéducation dans le 1er épisode : jamais sans les parents Célia Jantac & Dominique Willard - Paris (15' + 5') 14:35 15:00 Evaluer les pratiques, mesures les changements Karine Chevreul – Paris (20' + 5') 15:00 16:20 Table ronde : implanter l'intervention précoce dans le tissu territorial ? Animée par Guy Gozlan & Karine Chevreul (60') Conclusions ( 16:20 - 16:30 ) Lieu : Centre Hospitalier Sainte-Anne 1 rue Cabanis, Paris 14 Amphithéâtre Pierre Deniker, Bâtiment Jean Dealay (SHU-S14) Téléchargez le bulletin d'inscription (pdf) -->
19/05/2017
Vendredi 16 juin nous vous invitons à l'Hôpital Sainte-Anne prendre place dans la salle du Conseil afin de suivre les présentations de deux projets phare de l'Institut de Psychiatrie (Orbitoc et Réseau Transition). Ces présentations seront suivies de l'Assemblée Générale de l'Institut de Psychiatrie. Programme 14h00-14h30 : Accueil 14h30-15h15 : Orbitoc 15h15-16h00 : Réseau transition 16h00-18h00 : Assemblée Générale
18/05/2017
L'UNAFAM vous invite le 9 juin prochain à son Colloque Recherche Avec ce nouveau colloque, l’objectif est de faire le point dans ces deux directions de recherches spécifiquement appliquées à la schizophrénie dont souffrent 600.000 de nos concitoyens aujourd’hui. Les meilleurs spécialistes y présenteront les résultats de leurs propres recherches au regard des données les plus récentes de la littérature internationale. Ce colloque offrira l’opportunité d’échanges constructifs et mutuellement enrichissants entre les familles et les professionnels de la recherche. Lors de ce colloque les deux Prix Recherche Unafam 2017 seront remis aux lauréats Le 09 juin 2017 - 8h45 à 17h Ministère de la Santé – Amphithéâtre Laroque – 14 avenue Duquesne – 75007 Paris Programme En savoir plus en suivant ce lien
18/05/2017
Publics concernés : jeunes de 11 à 21 ans en situation de souffrance psychique ; titulaires de l'autorité parentale ; professionnels adhérant à la charte de l'expérimentation ; maisons des adolescents ; agences régionales de santé ; rectorats d'académie. Objet : modalités et conditions de mise en œuvre et d'évaluation des expérimentations visant à prévenir la souffrance psychique chez les jeunes de 11 à 21 ans. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : le décret détermine les modalités et les conditions de mise en œuvre des expérimentations visant à organiser la prise en charge de la souffrance psychique des jeunes de 11 à 21 ans. Le décret définit les modalités d'accès à la consultation médicale d'évaluation et à la prescription de consultations psychologiques prises en charge dans la limite d'un forfait pour le jeune et les titulaires de l'autorité parentale. Il détermine également que la maison des adolescents assure la coordination du dispositif de prise en charge du jeune sur le territoire concerné par l'expérimentation. Il précise enfin les modalités d'évaluation de l'expérimentation et ses effets sur la situation des jeunes. Références : le présent décret est pris pour l'application de l'article 68 de la loi n° 2016-1827 du 23 décembre 2016 de financement de la sécurité sociale pour 2017. Il peut être consulté sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr). En savoir plus en suivant ce lien
17/05/2017
Grand merci aux participants de cette Journée d'Addictologie à Poitier. Merci aux intervenants d'avoir échanger sur leurs domaines d'expertises : - Dr CAMPANELLA : « Training inhibition through neuromodulation(tDCS) or cognitive training : evidence from ERPs through a Go-Nogo task in a healthy population ». - Pr CHATARD : « Implicit attitudes towards alcohol (versus abstinence) predict long-term relapse in alcoholic patients with and without liver transplant: Some preliminary findings - Pr NOEL : « Liens entre la rechute alcoolique et le stress et cela dans une perspective neuro cognitive ». Merci encore au Pr. Jaafari pour l'organisation et la mise en place de cette journée
17/05/2017
CALL FOR SYMPOSIUM AND WORKSHOP PROPOSALS Organise your own Symposia and Workshops at EPA 2018. Extended Proposal Submission Deadline: 29 May 2017 http://www.epa-congress.org/2018
11/05/2017
Neuropsychology of subject with ultra-high risk (UHR) of psychosis : A critical analysis of the literature Les troubles cognitifs sont actuellement considérés comme un élément central des troubles présents dans la schizophrénie et comme un handicap majeur ressenti au quotidien par les patients. Ces troubles sont présents en amont du premier épisode psychtique, dès la phase "prodromique" pendant laquelle, les symptômes sont présents à un niveau infraliminaire du seuil de psychose. Les personnes présentant ces signes sont considérés comme ayant un "état mental à risque de psychose" (ou ultra-haut risque) et leurrisque de transition psychotique est de 20 à 40% à un an. Malgré de nombreuse études, la chronologie d'apparition des troubles cognitifs par rapport aux symptômes psychotiques n'est pas encore clairement établie et l'études des liens entre cognition et symptômes pourrait améliorer la compréhension des troubles psychotiques. La reconnaissance de certains troubles cognitifs avant l'expression de troubles psychotiques pourrait aussi permettre d'améliorer la détection précoce. Cet article propose une analyse systématique de la littérature explorant les troubles cognitifs rapportés chez les sujets à ultra-haut risque de psychose. L'objectif de la plupart des études est d'établir leur valeur prédictive de transition psychotique. Néanmoins, les résultats des études sont peu consensuels. Devant l'hétérogénéité des résultats des études antérieurs, cet article propose une critique de la littérature et propose des pistes de réflexion pour les études futures. Accéder à l'article en ligne
03/05/2017
6ÈME JOURNÉE DU C3RP, « EN ROUTE VERS LE RÉTABLISSEMENT » Le C3RP vous invite le 30 juin prochain à participer à sa 6ème Journée. Cette année le thème est le rétablissement. De 9h00 à 16h30 venez à l'Hôpital Sainte-Anne assister et échanger avec les conférenciers venus du monde entier venus partager leurs savoir. En savoir plus et inscription sur le site du C3RP Téléchargez le programme
19/04/2017
Le rapport sur la prise en charge des troubles de l’humeur dans les établissements ayant une activité autorisée en psychiatrie entre 2010 et 2014 en France métropolitaine par l’analyse des données du RIM-P est sorti mardi dernier (18 avril 2017). Lire le rapport Cet article rédigé par Lynda Badjadj et Christine Chan Chee décortique tous les aspects autour de la prise en charge des Troubles de l’humeur (Trouble Dépressif et Trouble Bipolaire). Résultats – Entre 2010 et 2014, 1 684 663 et 446 867 patients ont été pris en charge, respectivement, pour TD et TB dans les établissements ayant une activité autorisée en psychiatrie. En 2014, les taux de prise en charge pour TD étaient de 564,8 pour 100 000 personnes, plus élevés chez les femmes (698,3 vs 421,5 chez les hommes). Ils ont peu varié au cours de la période étudiée. En 2014, les taux de prise en charge pour TB étaient de 157,1 pour 100 000 personnes (190,3 chez les femmes et 120,8 chez les hommes). Une augmentation annuelle de 2,6% a été observée chez les hommes (p=0,01) et de 3,4% chez les femmes (p=0,01) et de 3,4% chez les femmes (p<0,001) entre 2010 et 2014. Pour les TB comme pour les TD, les taux les plus élevés étaient retrouvés chez les hommes et les femmes âgés de 50 à 54 ans. Chez les hommes comme chez les femmes, des taux de prise en charge supérieurs de 20% au taux national ont été observés en Bretagne et Bourgogne-Franche-Comté pour les TD et dans le Sud-Ouest pour les TB. Conclusion – Ce travail souligne l’importance de poursuivre la surveillance et la mise en place de stratégies de prévention des troubles de l’humeur, qui constituent un problème majeur de santé publique. Des actions de détection et de prise en charge précoce de ces troubles devraient être développées d’afin d’éviter leur chronicisation et le passage à l’acte suicidaire.
31/03/2017
L'artcle sur l'analyse du dispositif Fil Harmonie est enfin paru merci aux auteurs Alice Oppetit, Catherine Brébant, Dominique Monchablon, Julie Bourgin, Raphaël Gaillard, Jean-Pierre Olié,Marie-Odile. Krebs, Yannick Morvan pour leur formidable travail. Consultez et téléchargez l'article ici Objectif : L’objectif de cette étude est de décrire le fonctionnement du dispositif Fil Harmonie, lignetéléphonique réservée aux professionnels de l’Académie de Paris faisant face à une situation d’un élèveen souffrance psychologique ou psychiatrique. Méthodes : Il s’agit d’une étude descriptive observationnelle réalisée entre le 18 septembre 2013 et le12 mai 2014. Les informations transmises lors des 68 appels téléphoniques ont été recueillies, forma-lisées puis analysées. Nous avons utilisé une méthodologie mixte, associant des analyses de donnéesquantitatives et de données textuelles. Résultats : La profession de l’appelant était dans plus de 70 % des cas celle d’infirmière scolaire. L’âgemoyen des élèves concernés était de 17,3 ans. Les deux classes les plus représentées étaient la seconde et laclasse préparatoire (19,7 % dans les deux cas). Plus de la moitié des jeunes étaient déclarés comme n’ayantjamais eu de prise en charge psychologique antérieure (52,5 %). Les jeunes étaient décrits majoritairementcomme isolés socialement (67,2 %), tristes ou anhédoniques (48,2 %). Plus d’un quart (26,7 %) avait déjàredoublé au moins une fois et la majorité (55,9 %) faisait preuve d’absentéisme. L’analyse qualitative amis en évidence la complexité de la collaboration entre la famille de l’élève et l’établissement scolaire. Conclusion : Fil Harmonie propose une nouvelle modalité pour favoriser le dépistage des difficultéspsychiques chez les jeunes en milieu scolaire. Ce dispositif aide à la résolution de problème et si nécessairel’orientation vers des professionnels de santé adéquats grâce à l’intervention d’un professionnel relais.Cette étude de terrain pointe la nécessaire articulation entre professionnels de l’Éducation, professionnelsde santé et entourage proche.
09/04/2016
Rendez-vous à Saint-Lô le 9 mars prochain pour la conférence « La Psychiatrie Normande » à la SALLE SALVADOR 2-4 rue Saint Thomas 50000 SAINT LÔ Cette série de conférence organisée par les Professeurs Guillin et Dollfus (équipes 7 et 4 du GDR) a pour but de fédérer, de propager les idées et de d’échanger sur les différentes pratiques. Nous vous attendons le 9 mars 2017 dès 8h, venez nombreux ! Téléchargez le programme Nouvelles dimensions cliniques Nouvelles thérapeutiques Troubles de l’humeur : regards croisés Symptômes résiduels du trouble bipolaire P.M. LLORCA (Clermont Ferrand) La rémission dépressive est-elle le retour à l’innocence biologique? P. FOSSATI (Paris) Des dimensions pour la pratique quotidienne Suivi poste-tentative. VigilanS Nord—Pas de Calais : 2 ans après G. VAIVA (Lille) Le concept de l'insight en psychiatrie ou la conscience est-elle mesurable? N. JAAFARI (Poitiers) La Séance Poster avec le vote du Jury Thérapeutique et prévention Oxytocin ou comprendre l’autre A.SIRIGU (LYON) « Exposer plutôt qu’éviter pour prévenir le PTSD : l’exemple de la réanimation en présence des proches » P. ADNET (BOBIGNY) Neuf parcours de soins originaux en Normandie Pour finir : Assemblée Générale de l’Association Normande de Psychiatrie
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